Alumni stories : Ils partagent leur expérience

Frédéric Brun travaille comme ingénieur expert environnement dans l’industrie nucléaire, au sein d’Orano.

Après une formation initiale en Sciences de la Terre, il se spécialise d’abord dans le domaine de la protection de l’environnement et de la prévention des risques sanitaires et environnementaux, où il exerce au sein de la branche Chimie d’Orano. Après plus de 15 ans d’expérience professionnelle, il complète ensuite ses compétences par une spécialisation (en formation continue) dans la prévention des risques industriels, où il découvre à cette occasion l’Ecole des Mines d’Alès.

Sa passion pour les sciences de la Terre l’amène à s’intéresser plus précisément aux premières conséquences des changements climatiques, et il travaille désormais sur les sujets de l’adaptation climatique et de la prise en compte des enjeux biodiversité.

Diplômée de l'IMT Mines Alès avec une spécialisation en environnement et également titulaire d'un MBA de l'université McGill au Canada, mon parcours m'a amenée depuis plus de 15 ans à la croisée de la durabilité et du numérique. J'ai ainsi travaillé 10 ans dans le secteur des solutions de pilotage de la durabilité des entreprises et 3 ans en mission numérique responsable chez Société Générale.

Aujourd’hui consultante indépendante, j’ai développé une offre de formation et d’accompagnement autour de la transition écologique et du numérique responsable.

Au plaisir de vous rencontrer le 17 octobre.

Julien Hostache est originaire des Alpes françaises et a réalisé un Master en Biotechnologies à l'Université de Nîmes, en partenariat avec les Mines d'Alès.

En fin d'études, il a réussi à obtenir un stage dans une entreprise montpelliéraine spécialisée dans les énergies renouvelables, où il a ensuite été embauché. C’est dans ce cadre qu’il a appris sur le terrain les fondamentaux du métier de développeur de projets photovoltaïques.

En 2014, il a cofondé à Montpellier la plateforme de financement participatif Enerfip, aujourd'hui leader européen du secteur. Son parcours illustre que les passerelles entre des secteurs professionnels aussi divers que la biologie, l’énergie, la finance et l’entrepreneuriat sont nombreuses. Cela démontre également qu'il ne faut pas hésiter à faire des choix audacieux, car les changements de cap sont toujours possibles.

Stéphanie Muller a passé deux ans aux Mines d'Alès, dont une année dans l'option Management des risques et environnement, avant d'avoir l'opportunité de réaliser un double diplôme avec l'École Polytechnique de Montréal. Elle y a ensuite poursuivi une thèse dans le domaine de l'analyse du cycle de vie (ACV), un outil permettant de quantifier les impacts environnementaux des produits, services et organisations tout au long de leur cycle de vie.

Après sa thèse, elle a travaillé à Montréal en tant qu'auto-entrepreneure, dispensant des formations en ACV et facilitant des groupes de recherche interdisciplinaires.

Depuis 2016, elle travaille au BRGM, le service géologique national, où elle participe à des projets collaboratifs de recherche, aussi bien publics que privés, à échelle nationale ou internationale. Elle se concentre sur l'évaluation des impacts environnementaux de nos modes de production et de consommation de métaux, en particulier dans les secteurs liés à la transition écologique.